Il est devenu un lieu commun d'évoquer l'état préoccupant de la presse sénégalaise ces dernières années. Cette dernière se retrouve dans les abysses de la décrépitude, un environnement où prospèrent des condottieri et des saltimbanques audacieux, s'illuminant par des énormités à travers un micro, responsables de dérapages et d'écarts de conduite.
Des naufragés professionnels en quête de reconversion, souvent dépourvus de formation adéquate, s'accaparent les plateaux de télévision et nous imposent leur discours, débordant d’imbécillités qui attentent à la conscience collective et à la cohésion nationale. En deux temps, trois mouvements, ils dynamitent les fondements du métier, effilochent une corporation et exacerbent le buzz.
Les véritables professionnels du secteur désertent les rédactions pour éviter d’être associés à une profession ternie par des intrus. Il n’y a pas un pour rattraper l’autre dans cette compétition de bêtisiers orchestrée par des médias contraints de s'y conformer pour survivre.
L’amer constat de ce délitement est partagé par tous les acteurs, convaincus de la nécessité d’assainir le milieu pour redéfinir les valeurs d’antan d’un métier qui, dans le passé, imposait respect, crédibilité et intégrité. Pourtant, la tutelle est absente, peinant à mettre de l’ordre dans le secteur des médias.
Personne ne peut nier l’importance de la presse dans le fonctionnement de la démocratie, mais malheureusement, la partisanerie politique et le besoin de visibilité médiatique ont emporté ses acteurs. Sur les plateaux, des chroniqueurs aux arguments souvent discordants se proclament défenseurs de projets, alors qu’un journaliste ne devrait pas adopter de postures de partisanerie politique.
D'autre part, des rhéteurs aux discours condescendants se cramponnent chaque jour à flatter un camp politique. Pourtant, depuis "L'Aurore", de grands penseurs et chroniqueurs ont toujours joui d'une respectabilité et d'une honorabilité indéniables.
KMNGN
Je m'appelle José Celestino Ruiz. J'avais déjà abandonné l'espoir de guérir de l'hépatite B, car j'avais essayé de nombreux traitements sans succès. J'ai même consulté différents hôpitaux, et ils me disent toujours la même chose : il n'existe aucun remède contre l'hépatite B. Il y a quelques semaines, en faisant des recherches sur Internet, je suis tombé sur un article concernant le Dr Water. Il s'agissait d'une Anglaise qu'il avait guérie du diabète, qui racontait son histoire et le recommandait. J'ai pris ses informations et je l'ai contacté. Il m'a assuré qu'il pouvait guérir l'hépatite B. Je lui ai dit que c'était la première fois qu'on me disait que l'hépatite B pouvait être guérie et que je voulais essayer. J'ai reçu son médicament à base de plantes et je l'ai utilisé exactement comme il me l'avait prescrit. J'ai d'abord hésité, car j'avais consulté de nombreux médecins réputés et essayé de nombreux médicaments, mais aucun n'avait réussi à me guérir. Mais j'avais l'impression que c'était la solution ultime que j'attendais depuis si longtemps, alors je ne voulais pas que ça me disparaisse. J'ai commencé un traitement avec le Dr O. Water et j'ai utilisé ses produits exactement comme il me l'avait prescrit. En moins de trois semaines, j'étais complètement guérie et en bonne santé. Je me sentais très bien et tous les symptômes avaient disparu. J'ai fait un test et j'ai été déclarée négative et exempte d'hépatite B. Je tiens à remercier chaleureusement le Dr O. Water pour tout ce qu'il a fait pour moi. N'hésitez pas à lui écrire par e-mail à DRWATERHIVCURECENTRE@GMAIL.COM ou par WhatsApp au +234-905-020-5019. Merci.